Un jour que je me trouvais au musée, assis sur un banc au milieu de la salle, devant un tableau que je ne nomme pas, pendant plus d’une heure, à examiner le tableau et écrire dans mon cahier, regarder la belle figure création du peintre que je ne nomme pas, et tout ce qui était dans ce tableau, étoffes, livres, chaises, arbres, tout dominé par la beauté du total de la figure et les détails, je me suis rendu compte que c’est ça la beauté, de quoi que ce soit, mais surtout d’une femme : qu’on ne se lasse pas de la regarder fixement pendant une heure, pendant des heures, à boire l’essence vitale de sa mine, ses yeux, sa peau, ses lèvres, ses doigts, sa bouche, sa chevelure, ses sourcils, tout, avaler la scène, renifler le parfum de par les yeux, les sens, l’esprit—alors, elle est belle, celle-là.
Monday, March 10, 2008
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